J'ai enregistré cette nouvelle chanson bluesy il y'a un an environ. J'ai tenté de faire la prise de son la plus sale possible. J'ai joué la batterie, la guitare, la basse, j'ai chanté et j'ai mixé de la façon la plus extrême possible.
Pour le clip, Hugo Berrouet a monté un drôle de sketch avec des images récupérées et je pense que le clip ne sera pas visible longtemps pour causes d'images un peu olé olé.
La chanson à l'écoute ici
Voici mon nouveau single, "outcome". Je l'ai enregistré quelques minutes après son écriture quasi automatique il y' a un an. J'ai joué la guitare, le piano, les maracas, les claps, j'ai chanté et la chanson était quasi mixée. Les paroles sont abstraites et je n'ai jamais été convaincu à 100% de l'harmonie de la chanson. Il y'a un Fa# qui me dérange. Mais à ce stade des enregistrements de mes singles, je savais qu'il n'était pas à l'heure de se poser des tonnes de questions. J'allais publier "and then we take another road" et je devais enregistrer la version finale de la musique du spectacle "Play". Ce singles club se devait d'être un feuilleton avec un rythme de punk rock, sitôt enregistré, sitôt expédié. Alors j'ai gardé les accords de la chanson. Chose que je modifie souvent dans mes chansons. Mais ce coup ci, je suis resté sur mes trois accords. J'avais entendu certaines chansons des JAM dans lesquelles j'avais trouvé certains accords un peu posés ça et là à l'emporte pièces. Un document de Brassens laissait entendre qu'une note des "copains d'abord" n'avait jamais trouvé son bon accord et que la chanson avait été gardée ainsi. Je me suis dit que je pouvais bien tenter quelque chose avec "outcome". Pour la pochette, je manquais cruellement d'idée. Mais bien ficelé, n'importe quel hasard peut s'interpréter comme un choix. On verra bien la réception de ce marron stupide. Pour le clip, j'ai gardé la même dynamique débile: de la boxe de kangourous. Pourquoi pas?
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En 2010 j'ai ouvert un blog du nom de Coussinet dans lequel je publiais des chansons en mp3 disponible par mail grâce à paypal. J'ai publié ainsi une centaine de chansons étranges, hors formats, inédits, mais aussi des lives et toutes sortes de choses.
"Jenny song" a été, à ce moment là, une des plus appréciées. Je m'étais aussi amusé à faire écouter cette nouvelle chanson via facebook avec un lien valide durant seulement une heure. De mon coté, je trouvais mon chant assez moyen et la chanson mal jouée. De plus elle ne trouvait pas sa place dans "Radio Lee Doo", album que j'étais en train de préparer. Je l'ai mise de coté. Elle n'a pas trouvé non plus sa place sur mon album "And then we take another road" et encore moins sur la "musique du spectacle Play". En revanche, son format pop convenait à ce gros projet de 52 singles.
J'ai donc enregistré une nouvelle version. J'ai joué les batteries, basses, guitares, orgues farfisa, percussions, et chants.
Les paroles sont inspirées d'une conversation avec Mélanie Bauer, animatrice radio chez Nova. J'étais en interview dans son émission pour mon album de 2009 quand elle m'a raconté son quotidien. J'ai trouvé qu'il fallait que j'en fasse une chanson car le thème de l'isolement m'a toujours beaucoup plu. Une animatrice derrière son micro, c'est un sujet que je trouve chouette.
Je lui ai donc demandé de la filmer pour le clipounet.
Le single à l'achat ici
J'ai enregistré "Emily R" fin 2011 puis l'ai modifiée en 2012. J'ai joué tous les claviers, batteries, basses, guitares et chants et j'ai demandé un coup de main aux Natas Loves You pour le texte. Il s'agit d'une chanson à propos des questions un peu idiotes que l'on s'entend poser lors d'une relation amoureuse, et des réponses tout aussi idiotes que l'on peut se voir rétorquer. S'en suit un moment de silence avant le dernier refrain. Ce silence fait référence à ces moments où l'on se demande si l'on va ou non répondre encore quelque chose d'idiot et qu'on s'entend le répondre à nouveau.
Voici le clip
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J'ai écrit cette chanson au banjo, dans ma cuisine, et l'ai enregistrée dans ma cuisine, face au micro de mon Ipad, en jouant et chantant en même temps. Le texte parle de voyeurisme. J'ai écrit cette chanson le même jour que son enregistrement, en juin 2012. J'ai par la suite dessiné des banjos avec le logiciel Paint pour la pochette. Puis j'ai réutilisé les même images que le clipounet de "from Frisco to Berlin". L'idée de répétition me plait car je vais pouvoir voir qui suit mon feuilleton de singles avec application. Cette chanson m'a aussi donné envie de créer le personnage de Romuald Banjo, qui a sorti un single et joué en concert, mais n'est pas un personnage encore au point.
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